Je suis un grand et beau dictionnaire.
Bleu.
Je suis soutenu par l'Unesco.
Je référence 2500 auteurs, de tous les pays et de toutes les époques. J'ai 4616 pages. A la lettre I je recense les oeuvres de Witold Ingarden ; j'encense Innocent III, Ibn Gabirol et Ibn Furak. Je n'oublie pas Ion de Chios. Ni Itturi Francisco José, historien argentin, ni Isvarakrsna, métaphysicien dualiste hindou. Je reconnais le coréen Injong Ch'oe Han-gi.
Publié sous la direction d'André Jacob, mon papa est Jean-François Mattéi. Je mentionne plus de 10 000 oeuvres de philosophie occidentale. Je distingue à peu près 420 écoles de pensée, en oubliant le réalisme instrumental ou la postphénoménologie mais pas le zonisme ou l'austro-marxisme.
Mon volume II s'ouvre sur une belle photo "La danse des bâtons" et l'interrogation suivante "Machine. Nietzsche ne croyait qu'en un dieu qui saurait danser. Mais à l'heure de la machine, les dieux ne tirent plus les ficelles de la marionnette humaine : qui conduit la nouvelle danse ?"
Mes collaborateurs sont trop nombreux pour s'être comptés
Et je n'ai pas la plus petite ligne à accorder à Don Ihde.
Qui suis-je ?
Je suis Les Oeuvres philosophiques de l'Encyclopédie Philosophique Universelle des P.U.F.
" (...) our technologies also invent us as humans, and as we reflect upon this process, too often our interpretations have taken utopian or dystopian directions" Don Ihde
Découvrir Don Ihde et la postphénoménologie
Ce blog a pour ambition de faire partager un enthousiasme, pour l'une des pensées les plus originales et les plus fécondes d'outre-atlantique, la pensée de Don Ihde. Les thèmes explorés sont la technoscience, le visualisme de la science moderne, l'herméneutique matérielle et les questions contemporaines relatives à la culture technologique.
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